Il n'existe que paysage.
La mémoire des lieux ou l'anticipation de projets rêvés.
Le regard nous ramène à notre animalité.
La géométrie, la science du lieu,
la topographie de toutes ces rivières vivantes ou cachées qui se révèlent par un coup du sort.
Graver, écrire, noter, dessiner, absorber toute la mémoire du monde avant qu'elle ne disparaisse.
L'horizon insoupçonné de la forêt, l'écorce qui cache ses maux,
la feuille qui donne son ombre
et rejoint la terre dans un cycle de verts.
Qu'importe ce que Marco Polo a vu et quelle était la nature de ses rencontres, il les a racontées, fabuleusement.